Tout est dans le titre je vais vous faire vivre un pâques avec preparatif deco et tous c qui faut!!!!
J'adore cette fêtes car les enfants sont encore dans la joie de trouver un chocolat et un cadeau en plus!!!! et nous les grands de faire un bon repas et de se etouver en famille!
Un peu de culture, nourriture de l'esprit!!! (lol)
Pour certains, la coutume des oeufs de Pâques se rattacherait à l'établissement du Carême. Dès le IVème siècle, l'usage des oeufs pendant la pénitence de quarante jours est interdit par l'Eglise. Une grande quantité d'oeufs se trouvant entassée dans les provisions de ménage, le moyen le plus expéditif de s'en débarrasser était de les donner aux enfants.
Dès le jeudi saint, les enfants en commençaient la collecte. Ils allaient en bande, précédés des enfants de choeur et ramassaient dans des corbeilles les oeufs qu'on leur donnait.
Dans le Béarn, cette quête se faisait la veille de Pâques, appelée alors " le
samedi des oeufs ".
Et le jour de Pâques, tous ces oeufs étaient dégustés en
omelette.
Dès le XIIème siècle, dans de nombreux pays européens, les gens du peuple avaient l'habitude de s'échanger des oeufs tout simples, bénis à l'église, une coutume que les nobles vont vite adopter, mais en s'adressant à des peintres, des orfèvres et des graveurs pour se faire faire des oeufs-joyaux, c'est à dire décorés de peintures délicates, d'émaux ou de pierres précieuses.
Quant à la surprise contenue dans l'oeuf, c'est une tradition qui remonte au XVIème siècle, et certaines sont même passées à l'histoire tant elles étaient exceptionnelles : c'est le cas de la statuette de Cupidon renfermée dans un énorme oeuf de Pâques offert par Louis XV à Madame du Barry, du brûle-parfum trouvé en 1770 par Catherine II ou encore de la minuscule poulette cachée dans un précieux oeuf conservé à Copenhague dans les collections royales du château de Rosemborg.
La coutume des oeufs de Pâques n'est certifiée qu'au cours du XVIème siècle à la cour des rois de France.
Louis XIV faisait bénir solennellement le jour de Pâques de grandes corbeilles d'oeufs dorés qu'ilr emettait en cérémonie à ses proches ; Madame Victoire,fille du roi Louis XV, avait même reçu deux oeufs de Pâques peints et historiés par Lancret et Watteau..... L'on pourrait citer d'autres exemples royaux d'oeufs de Pâques célèbres.....
Au XVIIème et XVIIIème siècles jusqu'à la révolution qui y mit un terme, " l'oeuf " était l'apanage de la cour et de la noblesse. L'oeuf le plus gros du royaume, pondu pendant la Semaine Sainte, revenait de droit au roi.
On peut distinguer les oeufs teints que l'on consomme, des oeufs décorés que l'on conserve et que l'on offre à sa famille, à ses amis en témoignage d'amour et d'amitié.
Et c'est au XVIIIe siècle, en France, qu'on décida de vider un oeuf frais et de le remplir de chocolat.
En France et dans les autres pays européens les cloches ne sonnent pas du Vendredi Saint au Dimanche de Pâques. Une légende dit que les cloches se rendent à Rome où elles se chargent d’oeufs de Pâques qu’elles répandent à leur retour dans les jardins. Les enfants n’ont alors plus qu’à les chercher.
Depuis la nuit des temps, une mystérieuse chasse aux trésors s'organise au petit matin de Pâques : les enfants et les adultes gourmands se ruent dans les jardins, à la recherche des oeufs, cloches, cocottes, lièvres et autres gourmandises en chocolat
La tradition allemande veut, pour les enfants, que ce soit un lapin blanc invisible qui les cache.
Aux États-Unis et en Alsace, c'est un lièvre ; en Thuringe, une cigogne ; en Westphalie, un renard ; en Suisse, un coucou.
Si les adultes préfèrent les oeufs en chocolat noir, légèrement amer, la plupart des enfants apprécient, au retour des cloches, des oeufs ou autres bonbons en chocolat au lait, doux et sucrés.
La création de ces gourmandises au chocolat passe par la technique du moulage, qui existe depuis le milieu du siècle dernier.
Un oeuf précieux, un lapin rieur ou une cocotte fièrement enrubannée cachent en leur ventre mille et une douceurs en chocolat... quelque soit les formes ou les goûts, un week-end pascal placé sous le signe de la gourmandise s'annonce !
La tradition d’offrir des oeufs décorés, teints ou travaillés est bien antérieure au christianisme.
Le pyssanka
C'est en Europe de l'Est que la tradition des oeufs de Pâques est la plus vive.
On la pense bien antérieure à la fête chrétienne. Décorés ou peints, ces oeufs s'offrent le jour de Pâques.
En Ukraine comme en Pologne, l'oeuf de Pâques s'appelle le Pyssanka, l'oeuf écrit, car coloré ou peint est en effet chargé de symboles : étoiles, soleils, svastika, cercles qui font partie d'un répertoire au même titre que la croix, le triangle, la ligne brisée ou l'ondulation, motifs figuratifs, animaux et végétaux, rarement la figure humaine.
Le jour de Pâques, au XIIIème siècle, à Paris, les clercs des églises, les étudiants de l’Université ainsi que les jeunes gens des différents quartiers s’assemblaient sur les places publiques et formaient un long cortège en tête duquel on retrouvait bannières, tambours et trompettes. Ils se rendaient en choeur sur le parvis de l’église cathédrale, où ils chantaient une partie de l’office appelée "Laudes" puis ils s’éparpillaient dans les rues où ils faisaient la quête des oeufs de Pâques.
Dans l’antiquité gauloise, les druides attribuaient des qualités merveilleuses à l’oeuf de serpent (pierre en forme d’oeuf), qu’ils croyaient formée de bave que jetaient les serpents lorsqu’ils étaient entrelacés.
Quand ils en avaient trouvé un, ils s’en saisissaient et s’enfuyaient au galop. Ils pensaient que les serpents ne cessaient de suivre le cavalier que lorsque une rivière les séparait.
La tradition voulait que l’on s’envoit des oeufs teints en rouge ou en bleu et bariolés de diverses couleurs entre parents, amis et voisins. Enfants et domestiques recevaient également des présents.
Ces oeufs de serpent ne seraient en fait rien d’autre que des oursins fossiles qui abondaient dans certains coins.
Dans le courant des deux derniers siècles, on portait, à l’issue de la messe de Pâques, des corbeilles d’oeufs dorés dans le cabinet du roi, qui les distribuait à l’assistance. On dit que Louis XIV fit parvenir à Melle de Lavallière un oeuf de Pâques contenant un morceau de la vraie croix. Quant-à Louis XV, il distribuait à ses courtisans des oeufs gravés ou peints.
Watteau, Bouchet, Lancret en décorèrent qui devinrent de véritables oeuvres d’art.
Sous l’empire, on offrait aux élégantes des oeufs en sucre candi ornés de fanfreluches et garnis de friandises. Et Mallarmé écrivait des vers sur ceux qu’il offrait.
La cour de Russie : les oeufs de Fabergé
Après la révolution, cette tradition se maintint dans d'autres cours royales et trouva un développement exubérant à la cour de Russie, où le paroxysme " pascal " sera atteint par la réalisation du très célèbre bijoutier Fabergé. En 1884, le tsar Alexandre III lui commanda un oeuf de Pâques. L'oeuf en or émaillé de blanc contenait une poule miniature.
Il devint alors le fournisseur officiel de la Cour.
Il réalisa quarante quatre oeufs pour le Tsar Alexandre III et son fils Nicolas II : le portrait du tsar et de ses enfants, le yatch impérial, la statue équestre de Pierre le Grand.
Peter Carl Fabergé
Les oeufs décorés les plus célèbres sont sans aucun doute ceux créés par le bijoutier Peter Carl Fabergé (1846-1920).
L’oeuf commandé en 1884 par Alexandre III fut le premier d’une longue série (plus de 40 au total) réalisée pour les deux derniers tsars de la Russie Impériale.
La surprise contenue dans l'oeuf, c'est une tradition qui remonte au XVIème siècle, et certaines sont même passées à l'histoire tant elles étaient exceptionnelles : c'est le cas de la statuette de Cupidon renfermée dans un énorme oeuf de Pâques offert par Louis XV à Madame du Barry, du brûle-parfum trouvé en 1770 par Catherine II ou encore de la minuscule poulette cachée dans un précieux oeuf conservé à Copenhague dans les collections royales du château de Rosemborg.
C'est justement ce dernier objet en or massif qui est à l'origine des célèbres oeufs impériaux russes que l'on doit à l'imagination de Peter Carl Fabergé, orfèvre du Tsar. En effet, une princesse danoise - Dagmar - épousa le Tsar Alexandre III, prenant le nom de Maria Feodorovna, et décrivit à son mari cet objet qu'elle avait admiré plusieurs fois avec un tel enthousiasme et une telle nostalgie que celui-ci en commanda un tout à fait identique à l'orfèvre de la cour impériale.
On était en 1885 : dès lors, tous les ans à Pâques, l'artiste génial inventa une nouvelle merveille, de plus en sophistiquée, et l'offrit à sa souveraine.
Cette tradition plaisait beaucoup à Nicolas II qui, couronné en 1896, offrait de splendides exemplaires à sa mère et à son épouse, et on estime qu'entre 1885 et 1916, pas moins de 56 joyaux sont sortis de l'atelier magique de Fabergé.
Avec le temps, la fabuleuse collection des Romanov a été dispersée, mais on sait qu'une dizaine de ces oeufs de Fabergé sont au Kremlin, deux autres appartiennent à la reine Elizabeth II et 12 autres ont été achetés par Malcom Forbes, éditeur et écrivain américain.
Il arrive que quelques-unes de ces oeuvres exceptionnelles apparaissent sur le marché international de l'art et atteignent des prix vertigineux : la dernière vente remonte à 1994, quand Christie's adjugea le Winter Egg pour 3,5 millions de livres. Ces chiffres tout à fait prodigieux se justifient par le fait que ces objets sont de véritables chefs-d'oeuvre, encore que de petite taille.
L'esprit etant nourrit maintenant passons au vraies choses
Pour la deco je vous propose d'aller faire un tour sur le blog de "dans mon bocal" pour imprimer des guirlandes de lapins et d'oeuf
un couvre chef lapin
Coquetier de paques a faire faire par les enfants !!!
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